Quel Short ? #3
La stupidité n'a pas de limite, moi si.
Cet animé possède un arrière goût d'Oshiete Galko-chan et mon niveau d'amour pour cet animé se trouvant dans le négatif, je ne me voyais pas un jour devoir regarder un animé de la même trempe. Par principe je termine tout ce que je commence, à la vue de tel ramassi de conneries j'ai bien envie de me frapper en m'ordonnant d'arrêter, cependant soyez en sur, j'irai jusqu'au bout. Et je l'ai fait, j'ai terminé cet animé.
Aho Girl. Littérallement : fille stupide. Peut-on seulement faire un titre plus approprié ? Je n'en suis pas certaine. Yoshiko est mot pour mot une fille stupide, elle échoue à tous ses tests, sa famille ne voit pas une once d'espoir en elle et son ami d'enfance, camarade de classe à l'intelligence positive n'a pas plus d'espoir. Rajoutez au tout une bonne dose d'humour salace que je n'apprécie guère avec un bon nombre de scènes génantes et voila le cocktail est terminé. J'épprouve une grande compassion pour ces personnages qui malgré tous les efforts qu'ils fournissent n'obtienne malheureusement rien. Ici c'est sans espoir, rien n'évolue dans le bon sens, même l'humour ne pourra les sauver, de toute façon rien n'est drôle alors à quoi bon espérer...
Dans mon malheur, encore une fois je suis chanceuse, il s'agit d'un animé avec seulement 12 épisodes de 12 minutes. Comme pour Oshiete, le premier épisode donne très vite le ton de l'histoire. De plus adapté d'un 4 koma-manga, il y a plusieurs petites scènettes dans un seul épisode. Je vous le déconseille vivement, mais si trois minutes peuvent vous dissouadez plus efficacement (ou vous convaincre) mieux que moi, libre à vous.
Passons à quelque chose qui dans un format court a réussi son pari d'animé comique : Saiki Kusuo no Psi nan ! Un jour sur Terre, la naissance d'un jeune garçon aux cheveux rose avec des pouvoirs. Au lieu de dénoncer cet enfant à la science, ses parents l'élève comme les autres. C'est ainsi que nait Saiki Kusuo !
Aujourd'hui Saiki est un lycéen plutôt discret et pourtant il aurait de quoi se faire remarquer en sachant qu'il possède un peu près tous les pouvoirs de l'univers ! Sans le vouloir, il va attirer tout un panel de personnages qui vont mouvementer sa petite vie tranquille. Le pouvoir le plus utilisé dans l'animé, c'est de savoir lire les pensées et gens. Enfin disons plutôt qu'il n'a pas trop le choix, tout lui arrive en direct dans un périmètre bien défini. J'adore ce principe de lire dans les pensées des personnages pour exprimer le comique et la façon dont Saiki tente de détourner la véritable intentions de ses amis. Même en possédant le pouvoir absolu, tout ne se passe pas toujours comme prévu.
L'animé est découpé en petites scènettes de cinq minutes, pour 120 épisodes. Ce qui représente l'équivalent d'une série de 24 épisodes de 25 minutes. L'animation n'est pas des plus fameuses, le visuel ne vous séduira pas forcément, je crois d'ailleurs que les seules fois où l'on voit la bouche de Saiki animée, c'est pour qu'il mange ses gelées de café... Mais l'humour équilibre très bien le tout et il n'y a pas besoin de plus. C'est un petit coup de coeur, je ne regrette pas de m'être lancé dedans car après tout la miniature ne me tentait pas plus que ça. En vérité, merci à l'Anime Challenge catégorie Hard, tu m'as guidé sur la bonne voie. A votre tour maintenant.
Aujourd'hui Saiki est un lycéen plutôt discret et pourtant il aurait de quoi se faire remarquer en sachant qu'il possède un peu près tous les pouvoirs de l'univers ! Sans le vouloir, il va attirer tout un panel de personnages qui vont mouvementer sa petite vie tranquille. Le pouvoir le plus utilisé dans l'animé, c'est de savoir lire les pensées et gens. Enfin disons plutôt qu'il n'a pas trop le choix, tout lui arrive en direct dans un périmètre bien défini. J'adore ce principe de lire dans les pensées des personnages pour exprimer le comique et la façon dont Saiki tente de détourner la véritable intentions de ses amis. Même en possédant le pouvoir absolu, tout ne se passe pas toujours comme prévu.
L'animé est découpé en petites scènettes de cinq minutes, pour 120 épisodes. Ce qui représente l'équivalent d'une série de 24 épisodes de 25 minutes. L'animation n'est pas des plus fameuses, le visuel ne vous séduira pas forcément, je crois d'ailleurs que les seules fois où l'on voit la bouche de Saiki animée, c'est pour qu'il mange ses gelées de café... Mais l'humour équilibre très bien le tout et il n'y a pas besoin de plus. C'est un petit coup de coeur, je ne regrette pas de m'être lancé dedans car après tout la miniature ne me tentait pas plus que ça. En vérité, merci à l'Anime Challenge catégorie Hard, tu m'as guidé sur la bonne voie. A votre tour maintenant.
On termine cet article avec un autre animé sur le principe de petites scènes courtes de la vie quotidienne : Aggressive Retsuko. Je vous parle aujourd'hui de la version TV de l'animé et non les OAVs sortis tout récemment sur Netflix. Tristesse par ailleurs car, les OAVs sont sortis avant cette version originale, espérons qu'elle arrive sous peu chez eux !
Retsuko est une jeune femme panda roux qui va travailler tous les jours dans une grande entreprise. Celle-ci possède comme pas mal : son boss, ses collègues, ses machines, son trajet et surtout son lot d'anecdotes ! Que ce soit les collègues, les amis ou non, un jour ou l'autre une petite chose nous énerve, nous agace et que pouvons-nous y faire ? Pas grand-chose... Alors pour expier toute sa rage, Retsuko choisit de chanter du Death Metal.
Pas besoin d'être dans le monde du travail pour vivre et reconnaitre au moins une de ces situations. Derrière notre écran on en rit, on se reconnait et on soutient ce petit panda, reflet de nous-mêmes à plusieurs reprises.
Retsuko est une jeune femme panda roux qui va travailler tous les jours dans une grande entreprise. Celle-ci possède comme pas mal : son boss, ses collègues, ses machines, son trajet et surtout son lot d'anecdotes ! Que ce soit les collègues, les amis ou non, un jour ou l'autre une petite chose nous énerve, nous agace et que pouvons-nous y faire ? Pas grand-chose... Alors pour expier toute sa rage, Retsuko choisit de chanter du Death Metal.
Pas besoin d'être dans le monde du travail pour vivre et reconnaitre au moins une de ces situations. Derrière notre écran on en rit, on se reconnait et on soutient ce petit panda, reflet de nous-mêmes à plusieurs reprises.
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