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Kiimiko

Tu as gagné mon amour, mais je gagnerai la guerre !
Manga comique

Aujourd'hui je vous parle d'un manga comique. À la lecture des thèmes ce petit bijou s'imposait de lui même se révélant être mon dernier gros coup de coeur en terme de lecture manga. Kaguya sama wa kokurasetai de Akasaka Aka, traduit en anglais par Kaguya sama : Love is War et par chez nous par... Une absence d'édition. Oui, je m'en excuse mais, malheureusement l'oeuvre n'a pas encore franchi nos frontières à mon plus grand désespoir. Cependant en vu de son succès au Japon et de son arrivée récente en version anglaise, une lueur d'espoir scintille toujours au fond de mes yeux. Alors gardez un peu d'argent de côté et laissez moi vous inciter à l'acheter dans un futur que j'espère proche !

Si au premier abord la couverture vous rebute au point de se demander si je ne me suis pas trompée de catégorie, je suis toujours au bon endroit ! Après tout, c'est aussi ce que j'ai ressenti la première fois. Or, une force mystérieuse m'attirait à commencer ce manga et, à ce jour je ne regrette rien ! Kaguya et Miyuki sont tous les deux des élèves brillants dans une des écoles les plus prestigieuses du Japon. En plus d'être à la tête du classement, ils occupent les fonctions de Vice-présidente et Président au bureau du conseil des élèves. Lieu parfait à l'abri des autres, on pourrait croire à l'endroit idéal pour une déclaration d'amour... La réalité est tout autre ! Bien que leurs sentiments soient réciproques, leur vision de l'amour l'est tout autant. "Le premier à tomber amoureux est considéré comme le looser du couple !" Les deux protagonistes se lance alors une guerre sans fin à l'aide de stratagèmes de plus en plus vicieux afin de recevoir une déclaration d'amour de l'autre.

Il serait peut-être exagéré de dire que tous les chapitres m'ont fait rire, cependant c'est bel et bien le cas. TOUS les chapitres. Il arrive que dans certaines oeuvres certaines situations se prêtent au comique, mais qu'une oeuvre en son intégralité me fasse autant rire, le cas est plus rare ! (Je tiens à signaler que je suis relativement bon public). L'un des premiers effet de comique réside dans la narration des chapitres. En effet, un chapitre va représenter pour une majorité de l'oeuvre une courte histoire, une courte tentative. Une blague qui s'éternise trop finira souvent par s'essoufler. Le chapitre se terminera par une victoire ou une défaite en fonction du programme des personnages centraux. Actuellement plus de cent chapitres sont sortis pour l'oeuvre originale, ce qui représente dix tomes. Et dix tomes pour une déclaration, il est probable d'imaginer une répétition dans les gags et trouver un aspect lassant au manga. Pourtant non, l'oeuvre réussie toujours à se renouveler et pas seulement avec l'apparition de nouveaux personnages ou avec des running gags. Non, dans cette guerre psychologique l'apprentissage de l'un et de l'autre nous rapproche aussi bien en tant que lecteurs avec les personnages, que les personnages entre eux.

Ce n'est pas nouveau de voir dans beaucoup de mangas ou animés de type shojo à tendance romantique, le personnage féminin s'enticher rapidement d'un garçon pour une raison "héroïque". Et à force de rester avec, les sentiments vont se dévellopper et se transformer en véritable amour. Dans Kaguya Sama, les deux personnages rêvent d'en apprendre plus l'un sur l'autre, or il ne franchisse jamais le pas et c'est par l'action des autres qu'ils se découvre plus et font grandir leur amour. Ce que j'apprécie tout autant, c'est cet aspect de guerre psychologique. On passe une majorité du manga à lire les pensées des personnages et quoi de mieux que des pensées pour refléter ce que l'on ressent vraiment. Je fais clairement partie de ces personnes qui imagine mille scénario, le genre de fille à ruminer mille ans dans son lit avant de trouver le sommeil. Réfléchir à tant de choses qui au final se passeront d'une manière que notre cerveau n'avait pas imaginé...

Ce qu'il y a de fort, c'est la présence de ce personnage omniprésent dans lequel je m'identifie à merveille, encore plus que Kaguya ou Miyuki : le narrateur. À de nombreuses reprises je me suis entendu dire son texte avant que celui-ci n'apparaisse sous mes yeux. Il est la, invisible de tous, il est le nous encourageant mais invisible, avec un peu plus de connaissance sur le fin mot de l'histoire.

Kaguya Sama : Love is war innove dans son genre et me parle bien plus qu'une romance niaise, je me reconnais dans cette attente constante de l'autre. Pour une déclaration, le faire soi-même serait la solution à bien des problèmes bien que cela demande un effort d'un des deux, une fois fait, c'est fait. Mais au fond, on affectionne aussi cette période post-déclaration, on a envie que ça ne s'arrête jamais ! Je pourrais clairement parler de ce manga pendant des heures pour convaincre une poignée de personnes à se pencher ne serait-ce que sur un chapitre. Ne vous arrêtez pas non plus au visuel, il est loin d'un shojo classique vu que ce n'en est pas un. Le trait est souvent brut mais, il reflète à merveille l'expression et l'humeur des protagonistes. Le noir est souvent plus présent pour représenter l'aspect diabolique de leurs arrières-pensées. Cette oeuvre c'est un autre aspect de l'héroïne qui rêve de son prince, c'est moins glamour mais tellement plus parlant à mes yeux. Je recommande encore de tout mon coeur de garder ce titre et ce visuel en tête dans le cas d'une évetuelle édition !
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La stupidité n'a pas de limite, moi si.

Cet animé possède un arrière goût d'Oshiete Galko-chan et mon niveau d'amour pour cet animé se trouvant dans le négatif, je ne me voyais pas un jour devoir regarder un animé de la même trempe. Par principe je termine tout ce que je commence, à la vue de tel ramassi de conneries j'ai bien envie de me frapper en m'ordonnant d'arrêter, cependant soyez en sur, j'irai jusqu'au bout. Et je l'ai fait, j'ai terminé cet animé.

Aho Girl. Littérallement : fille stupide. Peut-on seulement faire un titre plus approprié ? Je n'en suis pas certaine. Yoshiko est mot pour mot une fille stupide, elle échoue à tous ses tests, sa famille ne voit pas une once d'espoir en elle et son ami d'enfance, camarade de classe à l'intelligence positive n'a pas plus d'espoir. Rajoutez au tout une bonne dose d'humour salace que je n'apprécie guère avec un bon nombre de scènes génantes et voila le cocktail est terminé. J'épprouve une grande compassion pour ces personnages qui malgré tous les efforts qu'ils fournissent n'obtienne malheureusement rien. Ici c'est sans espoir, rien n'évolue dans le bon sens, même l'humour ne pourra les sauver, de toute façon rien n'est drôle alors à quoi bon espérer...

Dans mon malheur, encore une fois je suis chanceuse, il s'agit d'un animé avec seulement 12 épisodes de 12 minutes. Comme pour Oshiete, le premier épisode donne très vite le ton de l'histoire. De plus adapté d'un 4 koma-manga, il y a plusieurs petites scènettes dans un seul épisode. Je vous le déconseille vivement, mais si trois minutes peuvent vous dissouadez plus efficacement (ou vous convaincre) mieux que moi, libre à vous.


Passons à quelque chose qui dans un format court a réussi son pari d'animé comique : Saiki Kusuo no Psi nan ! Un jour sur Terre, la naissance d'un jeune garçon aux cheveux rose avec des pouvoirs. Au lieu de dénoncer cet enfant à la science, ses parents l'élève comme les autres. C'est ainsi que nait Saiki Kusuo !

Aujourd'hui Saiki est un lycéen plutôt discret et pourtant il aurait de quoi se faire remarquer en sachant qu'il possède un peu près tous les pouvoirs de l'univers ! Sans le vouloir, il va attirer tout un panel de personnages qui vont mouvementer sa petite vie tranquille. Le pouvoir le plus utilisé dans l'animé, c'est de savoir lire les pensées et gens. Enfin disons plutôt qu'il n'a pas trop le choix, tout lui arrive en direct dans un périmètre bien défini. J'adore ce principe de lire dans les pensées des personnages pour exprimer le comique et la façon dont Saiki tente de détourner la véritable intentions de ses amis. Même en possédant le pouvoir absolu, tout ne se passe pas toujours comme prévu.

L'animé est découpé en petites scènettes de cinq minutes, pour 120 épisodes. Ce qui représente l'équivalent d'une série de 24 épisodes de 25 minutes. L'animation n'est pas des plus fameuses, le visuel ne vous séduira pas forcément, je crois d'ailleurs que les seules fois où l'on voit la bouche de Saiki animée, c'est pour qu'il mange ses gelées de café... Mais l'humour équilibre très bien le tout et il n'y a pas besoin de plus. C'est un petit coup de coeur, je ne regrette pas de m'être lancé dedans car après tout la miniature ne me tentait pas plus que ça. En vérité, merci à l'Anime Challenge catégorie Hard, tu m'as guidé sur la bonne voie. A votre tour maintenant.


On termine cet article avec un autre animé sur le principe de petites scènes courtes de la vie quotidienne : Aggressive Retsuko. Je vous parle aujourd'hui de la version TV de l'animé et non les OAVs sortis tout récemment sur Netflix. Tristesse par ailleurs car, les OAVs sont sortis avant cette version originale, espérons qu'elle arrive sous peu chez eux !

Retsuko est une jeune femme panda roux qui va travailler tous les jours dans une grande entreprise. Celle-ci possède comme pas mal : son boss, ses collègues, ses machines, son trajet et surtout son lot d'anecdotes ! Que ce soit les collègues, les amis ou non, un jour ou l'autre une petite chose nous énerve, nous agace et que pouvons-nous y faire ? Pas grand-chose... Alors pour expier toute sa rage, Retsuko choisit de chanter du Death Metal.

Pas besoin d'être dans le monde du travail pour vivre et reconnaitre au moins une de ces situations. Derrière notre écran on en rit, on se reconnait et on soutient ce petit panda, reflet de nous-mêmes à plusieurs reprises.
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Aujourd'hui, je vous propose un nouveau format qui diffère légèrement d'une chronique sur un animé basique. Ce n'est pas dit qu'il y en aura souvent, mais ici on parlera de mon rapport à l'oeuvre plus qu'une analyse en profondeur des thèmatiques de l'animé. Quoi de mieux pour commencer que celui qu'on ne présente plus : l'Attaque des Titans !

À l'approche de la saison 3, revenons un peu dans le passé en 2009 époque de parution du manga. À ce moment là, les mangas et les animés n'occupaient pas une grande partie de ma vie, selon mes souvenirs je pense aussi que je me passionnais plus pour des Shojos. En 2013, l'oeuvre est adaptée à l'écran. À cette période, je ne suis pas des plus motivés, je regarde beaucoup d'animés, enfin surtout un : One Piece. Il me fallait de quoi m'occuper sans avoir besoin à chercher continuellement quoi regarder. Il faut dire que ça m'a bien aidé pendant cette année que je n'ai pas trouvé des plus agréables. Je ne sais plus exactement à quelle période le nom de l'Attaque des Titans m'est arrivé à l'oreille... Par contre, malgré une année d'écart je me souviens que deux animés se battait dans le coeur des gens. L'Attaque des Titans évidemment et Sword Art Online.

Je l'ai déjà dit mais je ne suis pas friande de gore, de tripes et autres découpages sanguinaires. Je suis plus fascinée par les nouvelles technologies à tel point que si je pouvais voyager dans le temps, j'irai dans le futur. Mais revenons encore une fois dans le passée en 2013 - 2014. Dans ces eaux-là les animés sont bien plus présents dans ma vie, ils ont pris le dessus sur les mangas car je n'ai plus d'abonnement bibliothèque, je suis étudiante, j'ai du travail à l'école mais pas d'argent et pas spécialement l'envie d'acheter pleins de nouveautés pour ne les lire qu'une fois. En bref, entre les deux mon coeur balance vers SAO. Shingeki No Kyojin est mit de côté et je ne sais plus en quelle année la liscense annonce une saison deux.

La date est fixée, avril 2016. Je n'ai toujours pas vu la saison une et je me dis que j'ai encore le temps. Je ne souhaite pas me sentir forcée à regarder une oeuvre, je la regarde si j'en ai envie et là, l'envie ne s'était pas encore manifestée. Le grand drame arrive peu de temps après, la saison 2 est repoussée en 2017, de mon côté pas de problème je n'ai toujours pas envie de voir cette première saison et comme ça je n'aurais pas l'horrible sentiment de devoir attendre quatre ans avant de voir la saison suivante. Même si beaucoup de fans ont choisit de se ruer sur le manga, une bonne alternative en attendant. Mais au final au bout de quatre ans, le manga a largement dépassé le contenu de la saison deux.

La seule chose qu'il me restait à faire avant de commencer, c'était d'éviter le grand ennemi : le spoil. Pour la saison une, je n'y ait pas échappé, le titan colossal, la mort de la mère d'Eren, en gros tout l'épisode un n'était pas une grande surprise. Pour le reste de cette saison beaucoup de chose aussi me sont parvenus. A tel point que sur certain aspect j'étais dégoutée de ne pas avoir eu le bénéfice du doute ou même la possibilité de deviner avant que la révélation n'apparaisse à l'écran. Même pour des choses relativement simple comme l'identité du titan féminin, le doute s'installait en moi, j'avais cette forte impression de déjà le savoir. En toute honnêté ce qui m'a le plus surprise reste le moment où Eren perd un bras avalé par un titan au tout début de la série. Je pense que pas mal de gens ont oubliés cette scène, mais il est vrai que pour un personnage principal que je voyais en vie partout, se faire bouffer avant même d'avoir accompli quoi que ce soit reste un élément de surprise !

Au final, j'ai fini par visionner cette première saison l'année dernière et la deuxième cette année. Je suivrais certainement la saison trois en simulcast pour ne pas me faire spoiler de nouveau. Même si, aussi incroyable que cela puisse paraitre, aucun élément de la saison deux n'était parvenu à mes oreilles entre 2017 et 2018. (pas même l'identité du titan colossal et le final, c'est dire !). Une véritable aude à la nouveauté. Cependant, je ne prendrais pas de risque pour cette saison trois ! Puisqu'il est bon de préciser que je ne lis pas le manga, j'en suis donc bien au niveau de l'histoire au dernier épisode de cette saison deux. On se retrouvera donc en juillet, la saison trois figurant déjà sur la liste des animés que je souhaite voir pour cet été 2018.
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