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Kiimiko

Nous ne sommes plus vraiment en période de parler d'un retour à la mi-saison. À cette période je devrais plutôt commencer à vous parler des animés de l'automne 2018, cependant mon mois de juin est passé à une vitesse folle ! Depuis la fin avril je n'avais pas l'envie particulière de regarder des animés et pour couronner le tout MyAnimeList a du se mettre en maintenance. Pour résumé : à l'heure actuelle, j'ai du retard dans la saison mais cela ne m'empêche pas de vous parler de mon ressenti actuel sur les oeuvres que je tente de rattraper.


07/25

Ma motivation pour me lancer dans la saison 3 de Boku no Hero Academia restait quand même d'éviter les nombreux spoilers profilants sur les réseaux sociaux. J'avais jusque la bien commencé, aujourd'hui il est grand temps de me mettre à jour à l'approche de la fin de la première partie.

Comme pour les saisons précédentes l'histoire ne traine pas ! Le premier épisode fait office de récap, pourtant les scènes inédites sont très bien amenées et nous donne déjà le ton de la suite. Pour la fillière héroïque, l'heure des vacances a sonné, malheureusement pas de vacances pour les futurs héros de la société. C'est dans un camp d'entrainement que la petite classe se voit être embarqué dans le but d'améliorer leurs aptitudes physique au détriement des cours théoriques. La bonne ambiance ne sera que de courte durée avant de vite tourner au vinaigre !

Comme pour les saisons précédentes, cet animé est toujours plaisant à suivre avec pour grand force son avancement. Les flashbacks sont présents mais de courte durée. J'admire aussi tout autant une autre force de l'oeuvre, la gestion d'un grand nombre de personnages. Entre les classes, les héros et les villains, tous réussissent à avoir leur temps d'antenne et un bon dévelloppement. Avec tant d'éloges, dans les jours qui suivent je serai de nouveau à jour.
08/11

C'est sur cette oeuvre que je suis le plus à jour, alors que celle-ci s'achevera la semaine prochaine, mon avis dessus a bien changer depuis ma première impression sur le scénario.

Wotakoi avait tout d'une belle promesse : deux romances, des personnages dans le monde adulte et des références à la culture otaku. Tous les éléments sont réunis, la n'est pas le problème. De plus les idylles sont présentes dès le premier épisode, le combo partait gagnant. Mais voila, l'histoire ne nous mène nul part. Et sans histoire vers quoi ce tourner ? Les personnages ? Alors parlons-en.

Le petit couple principal sont des amis d'enfance. Otakus depuis qu'ils se connaissent Narumi n'a plus besoin de cacher sa passion aux yeux de son petit-ami, de l'autre Nifuji ne cache rien. Par contre au niveau des sentiments humains, de leur relation en dehors de leur passion rien n'est mis en avant. Pourtant Narumi semble bien cerner son otaku, ce qui me donne l'impression d'avoir raté plusieurs épisodes sur l'approfondissement des personnages. Quant à Nifuji je trouve ce personnage d'un mou ! Il tente d'exprimer des choses et se fait malheureusement rembarrer par une Narumi qui refuse ses élans de romantisme avec une absence de tact agaçante. Il y a bien un début de quelque chose à la fin de l'épisode 8, mais bon il ne reste que 3 épisodes avant la fin de l'animé... Pour le deuxième couple, je ne suis pas spécialement plus emballée, les deux passent leur temps à s'insulter à croire qu'ils ne savent faire que ça et leur scènes de ménage sur fond otaku ne m'arrache pas un sourire.

Je suis un peu déçue car peu de romance lycéenne nous montre l'après mise en couple, j'avais véritablement plus d'espoir avec une héroïne qui n'en est pas à son premier copain, et des études terminées depuis quelques années.


08/12

Tada kun n'est pas l'animé de romance le plus exellent, celui qu'on conseillerait plus qu'un autre et pourtant, il a tout ce que j'aime et rempli les attentes que j'avais en lui à la vue de son annonce. Un délicieux mélange de nombreuses petites romances nouvelles ou secrètes. L'opening résume assez bien ce dont regorge l'animé, tous les personnages sont concernés à leur façon au sujet de l'amour. Avec leurs différences ils abordent le sujet à leur manière avec des taux d'échecs et de réussite.

Au second plan, un mystère qu'on résoud relativement rapidement plane sur la petite Theresa en voyage temporaire au Japon. Avec si peu d'épisodes et un enjeu si grand, l'histoire sur les personnages principaux commence seulement. J'ai un peu peur d'une fin un peu trop exagérée comme les japonais ont souvent tendance à le faire. La vie ne nous offre pas toujours tous les moyens pour réussir malgré toute la bonne volonté du monde !

Je regrette aussi l'évolution de l'amour de certain, en particulier celui entre Theresa et Mitsuyoshi. Le jeune Tada n'est pas bavard face à une Theresa pétillante et pleine de vie. Mais sans aucun dialogue, difficile d'avancer l'un vers l'autre. Le dialogue n'arrive que plus tard alors que l'amour semble déjà être installé. 

06/23

Steins;Gate fait clairement parti de mes animés favoris, alors comment expliquer un retard sur sa suite tant attendue Steins;Gate 0 ? Je l'ignore. Car tous les éléments étaient réunis pour ne pas s'arrêter en cours de route ! Ce qui on commencé cette version alternative vont vite comprendre ou je me suis arrêtée.

Le premier animé met clairement du temps à démarrer, après un premier épisode qui nous bourre le crane d'informations pas toujours très claires en plus de devoir introduire un nouvel univers et ses personnages, la suite est difficile à encaisser. L'histoire ne commence qu'après 7 - 8 épisodes avant de devenir véritablement addictive dans la deuxième partie pour finir en beauté. Son successeur en fait un peu de même, le premier épisode réintroduit l'univers, la ligne d'univers, du charabia scientifique et des nouvelles qui ne laisseront pas le jeune Okabe indifférent. Mais jusqu'à la fin du sixième épisode rien de concret ne se passe. Il s'agit plus d'une avalanche de nouvelles questions sans réponse dans le quotidien des membres du labo.

Je ne parlerai pas plus en détail de la fin de l'épisode 6, mais celle-ci faisant clairement écho à la thématique de Steins;Gate proclame un lancement de péripéthies qui s'annoncent enfin bonne pour nous mener vers des réponses. Je suis bien heureuse d'éviter le spoil jusqu'à maintenant, My Hero Academia prenant le dessus... En espèrant tout de même ne pas vivre une trop grande désilusion sur le véritale lancement de cette suite.
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Conan a retrouvé l'enfance, c'est le sort qu'on lui a jeté !
Thème un enfant en personnage principal

Si vous êtes comme moi, une enfant des années 90, peut être qu'au retour de l'école sur la télévision passait entre une multitude de dessins animés, celui que je vais vous présenter : Détective Conan. A ce jour, l'oeuvre de Gosho Aoyama comporte 92 tomes parus en France, plus de 1000 chapitres et un peu plus de 900 épisodes toujours en cours de diffusion.

Pour ceux qui n'auraient pas l'intrigue : Shinichi Kudo est un Détective lycéen qui en vient souvent à aider les forces de police à résoudre des enquêtes de meutres... Un jour, après une sortie au parc d'attraction avec son amie d'enfance Ran, celui-ci poursuit deux mystérieux hommes en noir. Sur le point de surprendre un trafic douteux, Shinichi se fait assomer et se voit forcé d'avaler un poison. Persuadé que la mort va le frapper, à son réveil une toute autre surprise l'attend. Le lycéen se retrouve désormais dans le corps d'un enfant de primaire ! Sous cet aspect enfantin il réussi à trouver logement chez Ran dont le père est détective. Le jeune garçon n'a pas trouvé meilleure couverture pour retrouver ses malfaiteurs tout en résolvant les nombreuses enquêtes semées sur sa route.

Si je suis encore Conan aujourd'hui, c'est en grande partie par nostalgie. Merci maman d'avoir eu le courage (ou la non présence d'esprit) d'avoir commencer cette collection, alors qu'il y avait déjà 47 tomes... Aujourd'hui le chiffre à doublé, mais c'est toujours un plaisir d'aller chercher son petit tome et la collection est belle.

Alors oui, au bout de 92 tomes, l'histoire n'avance pas forcément. Les éléments sont donnés au compte goutte et il est vrai qu'avec une si longue série, le panel de personnages est vaste, il ne cesse d'augmenter, à se demander si viendra une fin ! On ressent clairement dans les premiers tomes que l'histoire n'était pas censé s'éterniser, ils sont agréables à lire et l'impression d'avancer se fait ressentir. Les enquêtes vont quand même vite prendre le dessus vu qu'il s'agit du thème central de l'oeuvre.

En vu des centaines d'enquêtes présentent dans le manga, les issues sont variées. Je ne suis pas une grande amatrice d'enquête policière, à la limite ce que je regrette un peu, (mais la dessus personne n'y peut rien) c'est la non possibilité de pouvoir tenter d'en résoudre une majeure partie. Culture, nom japonais, kanji, villes... C'est dommage car c'est ce qui fait à mon gout, le charme d'une enquête.

Pour le reste, en ce qui concerne les personnages, je les aimes, j'ai réellement grandi avec, comment ne pas s'attacher à eux. Malheureusement, leur temps de dévellopement me semble souvent trop court. Cela se ressent beaucoup plus après quelques tomes déjà lus. Le fil conducteur d'une nouvelle enquête commence par une introduction avec nos personnages, le crime, parfois une légère transition et assez vite le retour sur l'enquête pour finir par une ou deux pages de conclusion. Détective Conan n'est pas un shonen surnaturel action ! Le manga joue sur un aspect réaliste et donc beaucoup de textes. Depuis le début il y a une grande majorité de petites cases remplies de grandes bulles pleines d'explications. Les bulles de repos se retrouvent plus avec les personnages non liée au domaine de l'enquête comme Ran, qui accompagne son père et Conan un peu partout. Même si leur caractère se distingue, leur développement personnel stagne. Kogoro ne donne pas l'impression de devenir un plus grand détective (en même temps il dort, me direz-vous), les nombreuses histoires de romance subissent les nombreux clichés des shojos avec de l'attente de l'autre, de l'échec et de l'interruption...

J'aime cette oeuvre de tout mon coeur, pourtant je ne la présenterai pas comme une oeuvre à lire absolument. Peut être que dans quelques années les plus curieux se pencheront sur la fin, pour voir ce que devient ce petit garçon qu'on aimait tant suivre à la télévision. Peut être même que l'oeuvre viendra  attiser votre curiosité une fois terminée. Malheureusement, je crains de ne voir celle-ci trouver un nouveau grand public en tant que série longue toujours en cours. 
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