Devenir ce que nous sommes.
Une romance tragique.
Me revoila en ce doux mois de février pour vous parlez de romance. J'adore la romance, les histoires romantiques qui déborde à outrance de niaiserie. Le mot romance possède à lui seul le pouvoir de m'inciter à lire ou voir une oeuvre. Il était donc de mon devoir pour le thème de ce mois-ci, de participer.
Parlons aujourd'hui de Kyou no Kira-kun, traduit chez nous par Close to Heaven de Rin Mikimoto. Nino est une jeune fille qui vit reclue de sa classe, cachée derrière sa frange et effrayante de par l'oiseau empaillée qu'elle porte sur l'épaule. Cela ne la dérange pas, il en a toujours été ainsi. C'est de cette façon que la jeune demoiselle voit son cursus scolaire. Elle est tout le contraire de son camarade de classe Kira, celui qu'on pourrait décrire comme le beau gosse perturbant à la tête de sa classe. Par dessus le marché, c'est le voisin de Nino !
Jusqu'ici, on a un scénario Shojo des plus classiques, mais le thème de février n'est pas une simple romance, on parle aujourd'hui d'une romance tragique ! Je ne spoil pas vraiment en vous l'apprenant vu qu'on le lit à la dixième page mais, Kira va mourir. La mère de Nino lui apprend lors d'un repas que le petit voisin n'a plus qu'un an à vivre. Poutant, il n'a pas l'attitude d'une personne sur le point de mourir, il se comporte mal, se croit supérieur et fait des choses indécentes aux yeux de Nino. Cette facette, elle n'y croit pas et maintenant qu'elle connait la terrible vérité, Nino va faire tomber le masque et permettre à Kira de vivre ses derniers instants avec elle et faire en sorte que ses souhaits se réalise.
La résolution et les paroles héroïques de Nino ne pourront pas tout faire changer en si peu de temps. Nos deux protagonistes se sont bien trop longtemps enfermés dans une personnalité qui n'est pas leur. Difficile de briser une image qu'on les autres de nous, confronter en plus par les soucis qu'amènent les autres personnages, le travail sera rude ! Cependant, pas question de laisser place au moindre doute, ici le temps est compté. C'est un détail que je trouve chouette dans cette oeuvre, Nino et Kira vont se retrouver à faire ce qui aurait pris des années avant de trouver le courage de se lancer. Le tout face à des adolescents, des adultes au jugement facile et à eux-mêmes.
Je suis déjà un peu larmoyante, vu que dès le départ on sait ce qui nous attends, la série est finie en 9 tomes et pas la peine de dire que les mouchoirs ne seront pas bien loin lors de sa lecture. La tragédie finale et la future histoire d'amour entre Nino et Kira est une évidence claire. Et le fait de savoir par avance la mort de l'être aimé causera sans doute des problèmes à notre petite héroïne... Un sort plus facile à dire qu'à subir. Par contre si je pouvais faire subir un mauvais sort à un personnage en particulier je choisirai Prof, l'oiseau empaillé (en réalité vivant et doté de la parole) de Nino. C'est un personnage que je trouve tout bonnement insupportable, en grande partie pour sa façon de parler. Je suppose que c'est la même dans la version originale mais, retranscrire un accent à l'écrit est de loin l'une des plus mauvaise idée à avoir dans un manga shojo de ce type. J'adore clairement ce genre de découpage, les pages sont toutes différentes les unes des autres, la plupart du temps elles sont grandes et il y a très peu de texte. Le tout aurait été parfait pour une lecture des plus fluide. Mais non. A chaque bulle de cet oiseau, je suis dans l'obligation de la relire pour bien traduire ses mots. On pourrait s'y habituer si on avait se langage tout du long mais, il est interrompu par les dialogues écrits en français correct des autres personnages. Ce qui casse le rythme de lecture...
Pour le mot de la fin, ne restons pas sur une note négative car c'est avec sincérité que je vous conseille cette petite romance. Même si en ce moment je recherche toujours un grand renouveau dans mes lectures et plus dans mes visionnages en la matière, la romance est un sujet qui se renouvelle toujours d'une façon ou d'une autre. Le plus grand message pour l'instant reste celui d'être soi même, un message que je prône énormément et si je ne suis pas assez douée pour vous convaincre sur ce plan, cette petite histoire en aura peut être le pouvoir. Après tout c'est pour ce genre de chose que je continue à suivre ses histoires avec autant de passion.
Parlons aujourd'hui de Kyou no Kira-kun, traduit chez nous par Close to Heaven de Rin Mikimoto. Nino est une jeune fille qui vit reclue de sa classe, cachée derrière sa frange et effrayante de par l'oiseau empaillée qu'elle porte sur l'épaule. Cela ne la dérange pas, il en a toujours été ainsi. C'est de cette façon que la jeune demoiselle voit son cursus scolaire. Elle est tout le contraire de son camarade de classe Kira, celui qu'on pourrait décrire comme le beau gosse perturbant à la tête de sa classe. Par dessus le marché, c'est le voisin de Nino !
Jusqu'ici, on a un scénario Shojo des plus classiques, mais le thème de février n'est pas une simple romance, on parle aujourd'hui d'une romance tragique ! Je ne spoil pas vraiment en vous l'apprenant vu qu'on le lit à la dixième page mais, Kira va mourir. La mère de Nino lui apprend lors d'un repas que le petit voisin n'a plus qu'un an à vivre. Poutant, il n'a pas l'attitude d'une personne sur le point de mourir, il se comporte mal, se croit supérieur et fait des choses indécentes aux yeux de Nino. Cette facette, elle n'y croit pas et maintenant qu'elle connait la terrible vérité, Nino va faire tomber le masque et permettre à Kira de vivre ses derniers instants avec elle et faire en sorte que ses souhaits se réalise.
La résolution et les paroles héroïques de Nino ne pourront pas tout faire changer en si peu de temps. Nos deux protagonistes se sont bien trop longtemps enfermés dans une personnalité qui n'est pas leur. Difficile de briser une image qu'on les autres de nous, confronter en plus par les soucis qu'amènent les autres personnages, le travail sera rude ! Cependant, pas question de laisser place au moindre doute, ici le temps est compté. C'est un détail que je trouve chouette dans cette oeuvre, Nino et Kira vont se retrouver à faire ce qui aurait pris des années avant de trouver le courage de se lancer. Le tout face à des adolescents, des adultes au jugement facile et à eux-mêmes.
Je suis déjà un peu larmoyante, vu que dès le départ on sait ce qui nous attends, la série est finie en 9 tomes et pas la peine de dire que les mouchoirs ne seront pas bien loin lors de sa lecture. La tragédie finale et la future histoire d'amour entre Nino et Kira est une évidence claire. Et le fait de savoir par avance la mort de l'être aimé causera sans doute des problèmes à notre petite héroïne... Un sort plus facile à dire qu'à subir. Par contre si je pouvais faire subir un mauvais sort à un personnage en particulier je choisirai Prof, l'oiseau empaillé (en réalité vivant et doté de la parole) de Nino. C'est un personnage que je trouve tout bonnement insupportable, en grande partie pour sa façon de parler. Je suppose que c'est la même dans la version originale mais, retranscrire un accent à l'écrit est de loin l'une des plus mauvaise idée à avoir dans un manga shojo de ce type. J'adore clairement ce genre de découpage, les pages sont toutes différentes les unes des autres, la plupart du temps elles sont grandes et il y a très peu de texte. Le tout aurait été parfait pour une lecture des plus fluide. Mais non. A chaque bulle de cet oiseau, je suis dans l'obligation de la relire pour bien traduire ses mots. On pourrait s'y habituer si on avait se langage tout du long mais, il est interrompu par les dialogues écrits en français correct des autres personnages. Ce qui casse le rythme de lecture...
Pour le mot de la fin, ne restons pas sur une note négative car c'est avec sincérité que je vous conseille cette petite romance. Même si en ce moment je recherche toujours un grand renouveau dans mes lectures et plus dans mes visionnages en la matière, la romance est un sujet qui se renouvelle toujours d'une façon ou d'une autre. Le plus grand message pour l'instant reste celui d'être soi même, un message que je prône énormément et si je ne suis pas assez douée pour vous convaincre sur ce plan, cette petite histoire en aura peut être le pouvoir. Après tout c'est pour ce genre de chose que je continue à suivre ses histoires avec autant de passion.
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