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Kiimiko

De l'air, du feu, de la glace et de l'amour

Tome 14 (FIN)

Yokohama kadaichi kikou, c'est une oeuvre que j'aurai pris plaisir à lire tout au long de l'année. Malgré sa beauté, la rapidité à laquelle on l'a lit, j'ai fait durer le plaisir sur plusieurs mois. En plus à chaque fois que j'entamais un nouveau chapitre, je me demandai pourquoi je n'avais pas continué la fois d'avant. Mais cette fois c'est fini, j'ai terminé le quatozième et dernier tome. Et que dire en dehors du fait que c'était parfait du début à la fin.

Ce qu'il y a de beau, c'est qu'il n'y a pas réellement d'histoire, juste la vie, le temps qui s'écoule dans ce monde "post-apocalyptique" si doux. Le dernier tome ne fait pas tellement dernier volume. Je n'avais aucune attente particulière, revoir tous les personnages m'a largement satisfaite, même le temps d'une planche, d'une case. Je pense que j'en reparlerai parce que c'est une série qui mérite plus de lecteurs !


Tome 1

Je ne regrette pas du tout de m'être enfin lancé dans le monde du blog écrit. Je découvre pleins d'oeuvres et j'adore ça. Parmis elles, Fire Punch. Manga dont j'entendais parler de tous les côtés. Et quelle ne fut pas ma surprise de le voir dans les rayons de ma bibliothèque !

Le début annonce la couleur, la (merveilleuse) couverture aussi d'ailleurs. Ici on me parle pas de bisounours et d'un monde tout beau où le soleil brille. Au contraire, il neige, tout le temps. J'ai vraiment aimé la façon dont le scénario se met en place ! La façon dont le personnage devient "Fire punch" me plait énormément, sans savoir précisément pourquoi. Ce qui me plait moins resterai les scènes avec des membres par ci par la, je n'ai pas pour grande passion le corps humain en tranche... Cependant, impossible de m'arrêter dans ma lecture, même si dès la première page un bras disparait, mon envie de lire la suite s'est maintenu du début à la fin !
Pour l'instant beaucoup de mystères et de questions trotte dans ma tête, j'ai aussi extrêment hâte d'arriver au tome 4 dont je n'entends que du bien. 


Tome 1 et 2

On se retrouve dans les histoires d'amour, Mon indispensable. Même si j'aurai pu me passer de cette découverte shojo. Mais attention, je ne dis pas que tout est à jeter, je vais dévellopper. J'avais emprunté le tome 1 une première fois à ma bibliothèque, sans me souvenir pourquoi je n'étais pas aller au bout. J'ai repris les premiers volumes plus déterminée que jamais à finir la série qui se conclue en 8 tomes. Et trouver une série terminée, ce n'est pas chose simple !

Coeur à coeur c'est une histoire qui nous emmène dans une classe où nous découvrons cas par cas, un personnage, son point de vue, la naissance, la suite, la fin de ses sentiments amoureux... J'adore de tout mon coeur les shojos, mais celui-ci démarre avec quelque chose que j'apprécie un peu moins : le ecchi. Rassurez vous, il n'est pas ultra présent, mais des filles qui tombent, un point de vue en contre plongée sur une petite culotte... On verra au moins une fois celle de chaque filles de ce lycée. Et personnellement je ne lis pas de shojo pour voir des petites culottes.

Il y a aussi beaucoup de texte, en soit ce n'est pas un mal, mais certaines pages deviennent lourdes et longues à lire. Pour finir, mais ça je pense que c'est juste propre à moi-même, j'ai vachement de mal à différencier les personnages. Il y en a qui se différencie clairement, mais pour d'autres j'ai bien du mal. Je vais finir cette série sans aucun doute, mais pas forcément avec autant de joie face à d'autres shojos.

On se retrouve en Janvier, pour un nouvel article Lectures, avec le petit tas obtenu pour Noël il y aura de quoi dire !
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Ce soir, comme toi, la lune est belle.

Aujourd'hui je m'attaque à l'un de mes genres favoris : la romance. Je suis un peu carrément une grosse niaise et, même si beaucoup de clichés shojo me sortent par tous les pores, je ne résiste pas. Je veux voir toutes ses histoires mielleuses à souhait encore et toujours.

Tsuki ga Kirei est apparu un peu comme une lumière divine dans les animes de cette année. Contrairement aux autres romances auxquelles on a eu droit, celle-ci semblait la plus proche du schéma classique. Ce qui, manquait à ma liste d'animés à voir.

L'histoire nous transporte dans le quotidien d'Akane qui va entrer dans sa dernière année de collège. Nouvelle année, nouveaux camarades. Parmi eux Kotaro, un jeune garçon ordinaire qui va attirer le regard de notre héroïne. Malgré leurs échanges de regards, les deux adolescents sont incapables de se parler autrement que par le biais de leur portable... Hors, cette attirance va prendre le dessus et les inciter à faire un véritable pas l'un vers l'autre.

Commençons par un bon point positif à l'histoire : ses personnages. Contrairement à un shôjo classique, Tsuki ga Kirei possède en héros, deux personnages ordinaires. Aucun des deux n'est populaire, inacessible... Ce sont des collégiens auxquels on correspondait plus. On a une héroïne qui se passionne pour l'athlétisme, plutôt débrouillarde en cours avec un bon entourage aussi bien dans la famille que chez les amis. De l'autre côté Kotaro n'a pas spécialement un grand objectif futur et, sans être un cancre, il est l'élève qu'on a tous été au moins une fois. Celui qui aime passer du temps avec ses amis, celui avec ses doutes, celui qui ne s'entend pas toujours bien avec ses parents... C'est vraiment agréable de voir tant de réalisme dans un animé du genre. La plupart des héros possède un lourd passé ou ils n'ont pas trouvé le courage d'en parler et vive des années avec ce fardeau sur les épaules. C'est très catégorisé, mais en dehors d'être triste pour eux, on ne s'identifie pas tant pour cette caractéristique.

J'ai évoqué la scolarité dans la présentation de nos deux petits protagonistes. Cependant je n'en parlerai pas plus. Pourquoi ? Je sais que les études sont très importantes et, que les échecs scolaires sont mal vus au Japon. Malheureusement je n'en connais pas assez sur le sujet pour m'exposer plus dessus. Au risque de dire n'importe quoi, autant ne rien dire tout court. Sachez néanmoins que l'animé évoque ce sujet au travers de la relation de nos deux petits collégiens.

Toujours pour continuer dans le réalisme de la série, parlons un peu de l'évolution entre Akane et Kotaro. Malgré leur attirance, ses deux là sont incapables de se parler à l'école. Leur attirance n'est pas visible aux yeux des autres. On va donc instaurer un quatuor amoureux, un classique indémodable dans les animés de type romance. On retrouve parfaitement les amis un peu trop intrusif dans la vie d'Akane, à essayé de lui vendre un garçon dont elle ne veut pas. Et de l'autre, un nouvel amour grandit quand l'autre reste silencieux.
Silencieux oui, mais pas pour longtemps. Après tout l'animé ne dure que 12 épisodes. Ce que j'aime la dedans aussi, c'est qu'au départ les deux chouchous ne passent que par Line application de chat. Derrière l'écran il est facile de se parler, mais dans la vraie vie c'est une autre histoire. Par ailleurs, chose rare, pas spécialement extraordinaire, mais je trouve ça chouette à préciser, l'animé est temporalisé. L'histoire est contemporaine, il me semble même qu'elle se passe en 2017, ou si ce n'est pas ça, dans les années 2010 pour sur. Je crois que j'aime bien connaitre l'année, des fois je me demande si les personnages se servent des moyens qu'ils ont à disposition pour communiquer ! Ici, oui et c'est bien fait !

Si dans ce réalisme et, même dans l'animé en général je devais citer un défaut qui n'en est pas vraiment un, je parlerai de l'utilisation de la 3D. Pourquoi un défaut ? Et bien ça se voit. Et de moi à moi même, je trouve pas ça très joli. On voit clairement ce qui est en 3D et ce qui ne l'est pas. Fort heureusement les personnages principaux sont mis en avant du fait qu'ils ne sont pas (si je ne m'abuse) une seule fois touchés par le symptôme 3D. Mais alors qu'est-ce que j'aime dans toute cette 3D. Et bien la vie qu'elle donne à l'animé. Par la vie je n'entends pas seulement le décor avec plus d'une voiture qui passe en arrière plan, mais plus la foule. Dans un lycée il y a des centaines voir presque 1000 élèves, dans les autres animes, si les couloirs ne sont pas vides, les personnages en arrière plan ne bougent pas, c'est plus le fond sonore qui leur donne vie, plus que l'animation. Dans Tsuki ga kirei, même s'il s'agit de mouvement écrit dans la 3D (pas toujours très réaliste), les personnages vivent. L'exemple le plus flagrant serait l'épisode 7, qui a été décalé d'une semaine et a nécessité un épisode récapitulatif pour être sorti en entier et sans bâcler le tout. L'histoire se déroule dans un parc d'attraction et il y en a du monde et du décor en mouvement !! Même si c'est de la 3D, ça prend du temps à mettre en place et donner vie à tout ce petit monde. Et même si l'esthétique ne me conquis point, je suis ravie de voir des arrières plans vivants.

Enfin, parlons des bonus à la fin des épisodes. Quand un animé s'arrête à plus de deux minutes avant la fin du lecteur, c'est souvent signe de scène supplémentaire. Pour ceux qui ont vu l'animé, mais quitte avant l'ending (comme moi...) sachez le, chaque épisode possède des petits bonus. Des bonus tout simplement adorable. Dedans on retrouve les personnages secondaires, qu'on a pas spécialement eu le temps de développer, ou d'autres pour voir le point de vue de certains personnages qui nous ressemble. Le tout se présente sous forme de courtes histoires, découpées en chapitre à suivre le long des 12 épisodes de la série.
Tsuki ga Kirei présente beaucoup de personnages, pourtant on ne s'arrête que sur 4 principalement. Mais dans une école, comme dit plus haut, il y a pas que l'histoire de 4 personnes qui est en train de s'écrire. Et ses bonus sont parfaits pour montrer qu'il y a aussi les autres, leurs pensées, leurs attentes... A force de voir des animés dans un contexte scolaire, je me dis que parfois que l'on pourrait mettre des personnages de différentes séries dans le même lycée, ça marcherait. On a tous un petit truc intéressant à dire, à montrer, à partager et ses bonus sont là pour ça, il développe ce qu'il n'y a pas besoin d'ajouter dans l'histoire principale pour ne pas gêner sa continuité. Et c'est beau.
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Aide moi. OK.

Après 5 ans et demi d'utilisation, mon ancien téléphone n'avait toujours pas rendu l'âme (enfin à moitié). Mais s'il y a bien une chose qui me donnait envie depuis un an, c'est le nombre d'applications disponibles, plus attrayante les unes que les autres. Il y a peu j'ai fêté mon anniversaire et eu la chance d'avoir un smartphone, pas le plus grand de tous, je ne suis pas riche ! Mais un forcément meilleur que le précédent.

J'ai entendu parler de Somewhere sur un live, par hasard total, lieu sur lequel je ne mets jamais les pieds. Pourtant, on y fait de bonne découverte. Et comme j'ai désormais accès à ses jeux inaccessibles jusqu'à maintenant, je n'ai pas réfléchi deux fois et le voila installé.

Pour l'instant il s'agit seulement de la version démo, la finale est prévue pour 2018.


Il s'agit d'un jeu narratif ou nous sommes nous-même, et une personne se nommant "Cat" nous envoi un petit sms d'appel à l'aide en nous appelant "Orion". Problème, nous ne sommes pas Orion. A des moments de la conversation nous sommes confronté à plusieurs réponses possibles afin de guider "Cat" dans ses choix, lui poser les bonnes questions pour en savoir plus sur l'histoire, mais surtout la garder en vie. Pour le fond de l'histoire on parle de la surveillance globale et la suite apportera d'autres sujets je n'en doute pas. (j'ai d'ailleurs un peu pris peur avec le choix du téléphone. Tu ne te sens pas très bien après).

Avant tout, je suis bien contente de découvrir ce jeu avant que quelqu'un ne fasse une vidéo virale dessus. Je regarde énormément les gens jouer sur des jeux auxquels je n'aurai jamais accès. Mais pour une fois que je peux prendre les devants, je le fais !

J'ai terminé la démo il n'y pas longtemps et je vais évoquer le premier point positif du jeu : celui-ci se passe en temps réel. Nous sommes ainsi 10 fois plus impliqués dans l'histoire. Si Cat doit faire 200 kilomètres en voiture, tu n'auras pas de ses nouvelles avant 2 - 3 heures, par contre si elle te dit "1 minute", fidèle à ses paroles, une minute plus tard elle reviendra. Cela permet d'avoir une démo, qui dure sur 3 jours ! Et je trouve cela fantastique, plutôt qu'une demi heure de jeu complet avec une forte envie de voir la suite.

Un autre avantage du jeu : il ne nécessite aucune connexion Wifi ! Bien que certain choix peuvent te demander d'aller faire des recherches sur internet, à ma première expérience je l'ai évité et je suis restée en vie jusqu'à la fin de la démo ! Alors même en attendant de rentrer chez soi, on peut débloquer d'autres scènes ou se dire qu'on a de la chance et qu'avec un peu de logique on peut aider Cat !

Dans la vraie vie, pas certaine que je serais autant à fond, je pense bien que je flipperai un peu à la vue de ce genre de message... Mais dans ce genre de jeu, je suis directe coopérative, t'inquiète pepette je vais tout faire pour te sauver !!

BONUS : Une fois la démo finie tu peux rejouer en modifiant tes choix et sans attendre. Du coup j'ai tout exploré aussi.

Maintenant si vous aussi vous voulez sauver Cat foncez !! En plus l'application est gratuite alors y a plus aucune excuse pour ne pas se ruer dessus.
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De l'avant goût et de la déception.

Mélange entre prequel / sequel et short animes, bienvenue dans cette nouvelle catégorie qui présentera 3 petites oeuvres, de type format court !

Mahoutsukai no Yome ce n'est pas le genre d'anime vers lequel je me tourne habituellement, la Fantasy, j'évite. A vrai dire soit ça passe, soit ça casse, mais il y a rarement un entre deux. Alors pour l'adaptation animé actuellement en cours, avant de se lancer dans 24 épisodes au risque d'être déçue, la sortie de 3 OAV post histoire m'ont aidés à choisir si oui ou non je regarderai le format long. La réponse : Oui.

Je connaissais le synopsis de l'animé, avec Chise, jeune fille achetée aux enchères par Elias un magicien à l'apparence étrange, qui souhaite faire d'elle son apprentie mais aussi sa future femme. L'OAV nous emmène dans un présent où Chise vit déjà chez Elias et possède quelques marques. La jeune fille va recevoir par courrier corbeau, un livre lui évoquant des souvenirs et emporter Elias et nous visionneurs dans une partie de son passé.

Déjà dès les premières secondes, on sait qu'on va avoir quelque chose de beau. Les décors et l'ambiance se ressentent très bien, les personnages sont beaux (en particulier un petit bibliothécaire Hum Hum...), et je suis bien contente de n'avoir pas eu à attendre 6 mois entre chaque épisode. C'est court certes, mais en 6 mois on a le temps d'oublier des choses ! A plusieurs moments l'histoire est prévisible, mais ça ne gâche en rien sa beauté, c'est attendrissant, l'évolution du tout reste réaliste. Il n'y a pas besoin de connaitre grand chose avant de se lancer dans ces OAV, on comprend facilement l'essentiel alors, allez y.


Dans un genre différent, mais toujours éloigné de ce que j'ai l'habitude de regarder : Death Billiard, épisode unique qui a donné naissance à la série Death Parade. Je ne sais pas si c'est grâce à son succès qu'une série a été lancé, je suppose seulement. Il faudra s'y habituer je ne suis pas riche d'informations, je me contente de regarder.

Il y a un petit moment que je l'ai regardé, alors on va être dans l'approximatif. Qu'est ce que ça raconte de beau ? Et bien ici, deux personnes se retrouve dans un lieu qui leur ait inconnu, d'ailleurs ils ne se connaissent pas eux mêmes. C'est alors que se présente à eux, Decim qui leur propose de jouer leur vie au billard, de toute façon ils n'ont pas d'autres moyens si l'un d'entre eux veut avoir une chance de s'en sortir. Au fil de l'épisode, les personnages vont confronter leur instinct de survie tout en retrouvant petit à petit leur mémoire, et comprendre leur présence en ce lieu.

Il me semble que je connaissais déjà le sysnopsis de Death Parade avant de le voir, alors le climax ne m'a pas fait tant d'effet... Après la fin fin un peu plus ! J'ai été en tension tout du long, entre les plans, les expressions et l'ambiance il y avait de quoi. Pourtant même si j'ai vu cet épisode il y a plus d'un an je me tate toujours si je veux ou non regarder la série. Un seul épisode était suffisant ? Au vu du sujet il y a sans doute des images que je ne souhaite pas voir ? Peut être. Mais, malgré tout ça je penche quand même plus pour un oui. 



En intro, j'ai parlé d'une déception et bien la voila : Oshiete! Galko-chan. Je l'ai découvert sur le profil d'une fille qui semblait avoir les mêmes gouts que moi. Et bien, pas tout à fait... Son résumé parlait de jeunes filles qui discutent sur les animés, ça tombait bien les mises en abîme à ce sujet m'attirent. Et encore une fois, j'ai l'ai pris au premier degrès, je n'avais pas vu l'arnaque !

Les épisodes durent 7-8 minutes et traitent environ de 3 questions sur le corps féminin par épisode. Pour y répondre trois personnages : Galko, la Bimbo, Otako l'otaku et Ojou la bourge squatteuse. Ca aurait pu être un poil intéressant si l'humour n'était pas aussi lourd ! L'idée de vouloir inverser selon les clichés personnalité et physique ne m'a point emballée. La bimbo au corps "parfait" se retrouve être celle qui n'y connais pas grand chose et se retrouve gênée très facilement. Tandis que la petite Otaku planche à pain, possède le culot et l'absence de tact... Cet animé ne m'a rien apporté du tout, c'était clairement une perte de temps.

Après si l'envie vous prend d'aller le regarder ou juste de vous faire un avis, ce n'est que 7 minutes ! Je n'ai pas vraiment grand chose de plus à ajouter dessus, je l'ai vu il y a peu et pourtant c'est comme si tout était déjà parti de ma mémoire ! Ma foi tant mieux. On se retrouve bientôt pour un article qui ne parlera ni animés, ni mangas !!~
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Niaiserie, quand tu nous tiens.

Tome 2 et 3

J'adore les oeuvres de cette femme. Déesse du shojo, j'adore son dessin, son découpage et sa façon de raconter les histoires. Même si les histoires restent basiques dans le shojo, je pense que le style de dessin y est pour beaucoup dans mon amour pour elle. Mais passons. Love, be loved, leave, be left est apparu comme une lueur divine dans la bibliothèque la plus proche, alors j'ai directement foncé dessus. Et il y a quelques semaines j'ai aperçu l'ajout du tome 2 et 3. Ce qui me restait du tome 1, c'était globalement la fin, qui reste quand même l'élément déclencheur de l'histoire ! La suite se lit très facilement aussi, et il est assez facile de se mettre dans la personnage de Yuna qui sait “tout”, mais ne peut pas faire grand chose pour régler les problèmes qui l'entoure. Bien que j'adore les shojos, certaines scènes et initiatives me mettent relativement mal à l'aise. SPOIL C'est le cas pour la fin de ce tome 3, sans spoiler plus ce genre d'acte ne me plait pas réellement. C'est d'ailleurs une scène dans ce genre qui a fait de Strobe Edge un shojo PRESQUE parfait ! Dommage c'était pas bien loin. FIN DU SPOIL Après ça ne m'empêche pas d'être hypée pour la suite, et si je m'arrêtais à ça à chaque shojo, autant les arrêter tout court.



Tome 10.

Hibi Chouchou c'est aussi une série que j'emprunte à la bibliothèque. Pour la suite, mes souvenirs du tome 9 étaient relativement bref. Je me souvenais de la fin, qui se focalise sur le personnage d'Atohira, fil conducteur de ce tome 10. Par contre dans mes souvenirs je voyais plus de conflits entre les personnages de Suiren et Kawasumi, mais non c'est comme avant et autant dire qu'avant il ne se passait déjà pas grand chose… En plus les tomes se lisent ultra rapidement vu le débit de parole du personnage principal… Il ne reste plus que deux tomes avant la fin, j'ai un peu peur d'être déçue si les personnages ne se décident pas un peu à accèlérer les choses !


Tome 1

Kyou to Kira-kun, traduit par chez nous par Close to Heaven fait parti des mangas qui me faisait de l'oeil et avant même d'avoir pu me lancer dedans, le voila liscencié chez nous. Du coup je me le suis acheté ! Une bonne occasion, surtout que la série est terminée en 9 tomes, pas besoin de faire crédit sur 100 ans pour l'avoir entière ! J'avais lu le résumé, et les mots de la première page aurait pu m'aider à trouver dès le début le secret de Kira mais… l'envie pressante de le lire m'a perdu et finalement ça m'a surprise ! La suite reste assez prévisible, je prendrai surement un mouchoir ou deux pour le tome 9, pour l'instant 7 autres m'attendent. Ah et aussi, le piaf mettre ses dialogues avec l'accent du Kansai OK, mais le dire une fois au début ou le rappeller à chaque tome aurait suffit… PARCE QUE les “cha” à la place de “ça” et compagnie, c'est la pire idée du siècle. Il y a peu de bulles par page, le tome se lit très vite, et quand t'es à fond dans ta lecture, le fait de t'arrêter à chaque bulle pour transformer ses mots dans la langue française c'est outrageusement désagréable, ça coupe dans l'élan… Faites qu'il se taise.


Tome 1 à 4

Dans le lot de shojos que ma biblio a commandé, un dernier titre Perfect World. A chaque nouveauté shojo, tu peux être sur que je serais présente, alors les 4 premiers tomes y sont déjà passés. L'histoire reste classique, Kawana va par hasard retomber sur son amour de jeunesse Ayukawa. Cependant une chose à changer, il est aujourd'hui en fauteil roulant et ne peut plus se servir de ses jambes. Le dessin ne me transcende pas, il y a parfois peu de décor et les plans sur un oeil choqué ont tendance à me faire frissonner. Par contre je salue l'effort pour le fauteuil roulant, parce que c'est un élément récurent et complexe sous le crayon ! Le tout se lit bien, même si le fait d'avoir enchainé les 4 premiers tomes assez vite n'était pas forcément une bonne idée. L'histoire tourne clairement autour du handicap qu'on peut catégoriser comme un drame. Et comme un manga de sport amène du sport, un d'amour amène la rivalité... un manga sur le handicap, amène forcément du drame. Sucession de drame, en veux tu en voila ! Et à la suite, c'est un peu... trop. Les moments de joie sont trop court à mon gout, prions pour qu'il y ait plus de bonheur dans le tome 5.
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