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Kiimiko

Nous sommes déjà en 2019 et cet article sort seulement maintenant... Comme chaque année j'espère de tout coeur découvrir de nouvelles choses, regarder un torrent d'animes et j'aimerais aussi lire plus de manga. L'année dernière je m'étais fixée un objectif de 30 séries que je n'ai pas vraiment réussi à tenir. Mais qu'importe, après une année bien riche, 2019 nous promet déjà de bien jolies choses :


Yuri on Ice!!! le film - Ice Adolescence

C'est lors d'un concert avec toutes les musiques de la série, qu'à la fin les spectateurs étaient invités à rester assis pour une petite surprise. L'information a du bien circuler, tout le monde est bien resté sur son siège. Je peux vous l'affirmer car nous avons eu la chance d'avoir un direct live sur Youtube de l'intégralité du concert ! C'est la première fois que je faisais ça et ça valait le coup. Pas question de rater l'annonce en question. A la fin du concert nous avons eu droit à un mini trailer travelling sur l'affiche du film avec Victor (jeune) et Makkachin. Pas de date précise pour l'instant en dehors du fait qu'il sortira en 2019 au Japon. J'espère que la VOSTFR ne tardera pas trop histoire de garder ce film comme une entière découverte.

Kaguya Sama : Love is War, l'adaptation animé

Kaguya sama c'est mon manga coup de coeur depuis un petit moment et aucun n'a réussi à le détroner pour le moment. Malgré ma hype immense à l'annonce de cette adaptation je reste un peu perplexe quand à sa réalisation. Les premiers visuels sont sortis, je ne suis pas grande fan mais ça reste raisonnable. Je n'accroche pas non plus sur la voix de Miyuki mais, je ne peux pas vraiment juger dix secondes sur un trailer. Par contre je compte sur beaucoup de visionnages et un bon partage de cette série dans l'espoir d'une version papier en France. Sachez, éditeurs, que mon compte en banque est prêt.


Miraculous, la saison 3

Pas de date précise et pourtant sachez qu'elle pourrait bien apparaitre avant le changement d'année. Il aurait été trop beau de vous dire qu'il s'agit de la version française hors c'est l'espagne et le portugal qui prennent les devants. J'avoue être dégoutée par cette nouvelle, j'adore Miraculous, j'ai dévoré la saison une qui est entiérement disponible sur Netflix. J'ai enchainé avec la deuxième saison, puis au fur et à mesure des nouveaux épisodes, un autre pays prenait de l'avance sur nous... Je ne sais pas si pour la première était aussi décousue en terme de diffusion mais, malgré la difficulté que représente l'accord des nombreux pays qui diffuse l'oeuvre, le spoil reste international et traverse les frontières... Cela ne me gêne pas d'attendre 2019, même si nous n'avons pas de date précise, l'année est proche... Cependant je refuse de me faire spoiler cette saison qui s'annonce encore un cran au dessus de la précédente.
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Vendredi
Objectif palier 2 - 6h

Aujourd'hui je suis heureuse d'apprendre qu'une nouvelle session du WeDramanimique s'ouvre. Pour moi, c'est la deuxième et elle tombe à pic car, aujourd'hui était aussi un jour de congé. Après une bonne après midi à faire du roller, rien de mieux que de se poser devant des animés.

21h40

Avec ma soeur en ce moment on est déterminée à finir la deuxième saison de Gwendoline. Cette série faisait partie de notre enfance et après avoir difficilement vaincu la première saison, la seconde passe bien plus facilement. La jeune fille est plus agée et le personnage d'Edward tire la série vers le haut. Episode 12 à 19, 2h40 pour commencer !


Samedi
13h30


On continue avec deux nouveaux épisodes, un chaleureux à souhait et un autre bien plus dramatique. Et malheureusement pas une seule apparition réelle d'Edward. On va faire un petit changement sinon il n'y aura rien d'autre du weekend ! En attendant 3h20 au compteur.



14h52

Je n'avais pas retouché à cette petite série depuis Janvier. En avant pour le deuxième épisode de Itsudatte Bokura no Koi wa 10 cm Datte. petit format créé à partir d'une musique avec trois petits couples en devenir. Je pense finir la totalité dans la journée et pour l'instant 3h40 sans oublier...






16h04


Gwendoline ! La romance avance à reculons, le retour d'une petite peste, plus de drames et heureusement le retour de notre chevalier : Edward. Cette histoire finira t-elle aussi bien que j'avance vers mon objectif ? Certainement. On dépasse les 4h avec trois épisodes. Le calcul nous amène à 4h40.




19h20

Fin de la petite histoire avec les quatres derniers épisodes. C'était pas mal, l'absence de communication m'agace toujours autant mais, si je ne me fiais qu'à ça je ne regarderai plus aucune romance. J'atteins mon palier alors que nous ne sommes même pas dimanche avec 6h00 tout pile. Je n'irai surement pas jusqu'au 12h or, Gwendoline dur un peu moins de 20m par épisodes alors le visionnage continu par plaisir et bonne conscience.

21h10


Une méchante de perdue, dix de retrouvées ! Les ennuis ne prennent pas fin mais les coupables sont révélés au grand jour. Je regrette le temps d'apparition des personnages bons. J'en aurai presque oublié de vous parler du personnage de Cathy qui, elle aussi, tire la série vers une plus grande maturité. 7h00 au total avec les trois derniers épisodes de la journée.






Dimanche
10h02
Le dimanche matin c'est Miraculous. En plus aujourd'hui est un jour un peu exceptionnel en sachant qu'il y a eu la diffusion de deux épisodes inédits ! Sans doute car les autres pays nous on déjà devancé et que nous approchons à grands pas des épisodes finaux. Rien d'une production asiatique mais bon, il faut proner Miraculous et je vous invite encore et toujours à regarder cette merveilleuse production.

16h30


Un seul épisode me suffit pour la saison 4 d'Uta no Prince-sama. J'ignore même comment j'ai tenu jusque là. L'histoire est vide, on a fait le tour trois fois, rajouter des personnages n'aide pas et on sent clairement qu'il n'y a plus aucun effort sur l'équipe d'animation. Au moins en le terminant grace à l'Anime Challenge je bouclerai la boucle une bonne fois pour toute. 7h20, journée peu productive...


21h42
On termine sur de la qualité avec les deux premiers épisodes de la seconde partie de la saison 2 (rien que ça) de Mushishi. C'est toujours aussi apaisant et envoutant, la seconde histoire m'a plus plu que la première et je ne dis pas ça pour rester dans le thème du deux... Mais histoire d'aller jusqu'au bout, comme je l'avais prédis je n'ai pas atteins le deuxième palier. Encore trop loin avec quand même 8h00 de visionnage au total !

A bientôt pour la troisième édition !


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Cet été j'ai eu la chance d'aller au Festival d'Animation d'Annecy. Même si l'événement commence sérieusement à dater, je pense que je vous ferai un petit article pour vous parler de mon périple là-bas. En seulement trois jours, j'ai eu des journées plus que remplies ! Dans mon programme, je n'avais pas d'accréditation alors je suis allée voir un peu là où il y avait de la place et, le samedi était diffusé Millennium Actress de Satoshi Kon. Il faudrait clairement qu'un jour je visionne Paprika et Perfect Blue, en attendant c'est ce film qui s'est hissé sur ma route.

Avant tout, je tenais à préciser que le festival est international et que pas mal de séances sont proposées en sous-titrés anglais, dont celui-la. Malgré tout, j'ai réussi à suivre le film sans grande difficulté et entre nous je ne suis pas bilingue donc un peu fière de moi. C'est surtout grâce à une augmentation de lectures anglaises et "quelques notions" de japonais dans les animés (mais aussi les images, ne nous mentons pas).

L'histoire nous transporte à la fermeture et démolition d'une entreprise cinématographique. Deux reporters décident d'aller à la rencontre de Chiyoko Fujiwara l'actrice far du studio afin d'obtenir une interview exclusive. La vieille dame reculée dans les montagnes accepte de leur compter son histoire en tant qu'actrice, mais aussi ses débuts en tant que jeune fille à femme au travers d'une quête romancée.

La beauté réside dans le voyage que nos deux journalistes vont faire en se retrouvant propulser dans l'époque de ses propos. Plusieurs réalités se mêlent entre elles, le passé, le présent, le cinéma et nous... Tout n'est pas dit et, pas le temps d'agir sur le passé que le futur s'enclenche aussitôt. On reste happé par cette histoire prenante à la fin déjà écrite. 

Contrairement à mon dernier Quel Short ?, je ne vais pas vous parler de la version TV mais, des ONA produits par Netflix. Est-ce que après avoir vu les cent épisodes, la version de Netflix offre un vent de nouveauté, vaut-elle vraiment le coup d'être vu ? Oui.

Cette version n'est pas totalement novatrice, on retrouve certains gags de la série originale, je dirai plus qu'elle est structurée. Avant les épisodes ne duraient qu'une minute, on avait un schéma avec une petite histoire centrée sur un personnage qui trouvera à sa façon le moyen d'énerver la jeune panda rousse jusqu'à la chanson finale. Ici on est face à des épisodes de vingt minutes, l'approche n'est pas la même.

On a bien moins de personnages, mais ceux qui restent on tous leur temps d'écran et leur développement pour qu'on comprenne sans soucis la personnalité de chacun. Parmi ses personnages, je soulignerai celui de Haida dont j'avais très peu de souvenirs et, qui se retrouve être à mes yeux l'animal le plus attachant. Certains peuvent reprocher l'absence de transformation de Retsuko en Aggretsuko et par conséquent de chansons... Or même sur cette pensée je ne serai où les caser car, l'histoire est condensée de la bonne façon, ni plus ni moins.

Ne vous arrêtez pas au visuel, qui en plus ne possède pas une mauvaise animation. Je ne sais pas s'il y a vraiment un ordre pour visionner les deux séries qui se regroupent. Peut-être la TV d'abord en premier car, sur la fin de la série les deux partent dans deux sens différents pour le futur de Retsuko et ses relations plus intimes. Netflix a même prévue une seconde saison, peut-être retrouverons nous les personnages oubliés de l'originale ou au contraire aurons-nous droit à du cent pour cent inédit ?
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10/24

Cette saison, pas d'article pour vous présenter ce que j'avais prévu de voir, car honnêtement à part la troisième saison de l'Attaque des Titans rien ne me donnait envie. Puis sur Twitter j'entendais beaucoup parler de Banana Fish. Lorsqu'un élément est bien trop cité, je ne vais pas de suite m'intéresser à lui, cet élan de passion a plutôt tendance à me repousser. Cependant, à force d'entendre ses deux mots que tout oppose, j'ai décidé de me pencher dessus. Et je ne regrette pas !

J'ai tenté à plusieurs reprises de faire un résumé à ma sauce de l'oeuvre, mais les mots ne me convenaient pas. J'ai tout supprimé et je vous invite à aller voir ceux d'internet qui diffèrent à certains niveaux mais, reste tous véridiques.

Je peux quand même vous parler de l'oeuvre en général ! Le gros point fort de Banana Fish c'est son scénario bien amené et ficelé, aussi bien par les personnages que par l'histoire. Les épisodes passent à une vitesse folle et nous apporte toujours un petit élément de l'histoire. Ce que j'aime le plus c'est ce tout très bien amené dès le départ. A chaque nouvelle apparition d'un élément ou d'un personnage le minimum est dit dès l'introduction, ce qui rend le tout cohérent. Pour exemple les deux personnages principaux : Ash est présenté comme un jeune homme beau, talentueux en tant que chef de gang et doué avec les armes. Il sait tuer et n'hésite pas à le faire en cas de besoin. Quant à Eiji, même s'il tient plus le rôle de poids dans la vie d'Ash on nous le présente dès le début possédant des aptitudes de sportif avec le saut à la perche et donc, de l'endurance. Il ne sait pas tirer, n'a rien d'un gangster et ne va pas apprendre au premier contact avec l'arme. En bref, les bases sont bien posées et offre une lecture de l'oeuvre fluide et agréable.

08/24

Je me souviens parfaitement du plan final de la saison deux. Ce début de saison trois m'a pourtant perdu dès les premiers épisodes... On sent dès le départ et même avec l'opening que nous ne sommes plus dans un arc avec des titans et du massacre. Le début est long à démarrer et j'ai vraiment éprouvé une difficulté à me remettre dans le bain malgré mon enthousiasme durant les deux saisons précédentes.

Les épisodes étaient, à mon gout, pas très bien dosés. Au début quelques infos sont données et dans les suivants c'était tellement une avalanche de révélations que j'avais du mal à tout assimiler. Je n'ai pas envie de mettre pause dans ce genre d'épisode, j'ai envie de lire mes vingt minutes de visionnage d'une seule traite (en dehors des petits résumés à la moitié de l'épisode). Maintenant je m'y retrouve mieux, on apprend toujours pleins de choses mais, un équilibre au niveau des informations semblent être revenu.

En dehors de ça, j'aime toujours autant l'histoire. J'apprécie le fait qu'en dehors de la plus grande menace que connait l'humanité, l'auteur nous montre qu'elle arrive quand même à avoir des conflits internes ! Mais je crois que ce dont j'ai le plus hâte, c'est le fait que la cave de l'ancienne maison d'Eren soit un sujet de nouveau évoqué. Sincérement je souhaite connaitre ce qui se trame à l'intérieur de celle-ci, ayant réussi à éviter toute information à ce sujet, je prie pour que la saison trois nous transporte jusqu'à cette grande révélation.
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À la base je voulais parler de l'équitation avec Jumping de Tsutsui Asahi mais, j'avais en moi le doute de savoir si oui ou non l'équitation était représenté comme un sport connu dans les mangas. Pas certaine de mon choix, je le gardait bien au chaud pour ce mois sous le signe de l'été. De toute façon, il était fort de se l'avouer mais, à mon plus grand désespoir je n'avais pas d'autre titre pour l'occasion. Non pas que je ne vous recommande pas Jumping, bien au contraire cependant, j'avais envie de parler d'autre chose. C'est ce titre que je vous présente aujourd'hui qui a décidé par miracle de se mettre sur ma route, après toutes les éloges que j'entendais à son sujet... Je parle bel et bien du Chant des Souliers Rouges de Mizu Sahara !

Les doutes se sont envolés quand le sport au centre de l'oeuvre se voit être le Flamenco ! Ce que je crains plus actuellement, c'est surtout qu'au vu de l'actualité de celui-ci, je ne sois pas la seule à vous en faire des louanges... Au fond, ce n'est peut être pas si mal !

La scolarité au Japon est bien connue pour être un terrain glissant, surtout pour des jeunes qui se découvre. L'équilibre pour se tenir dans la normalité que les autres attendent de nous est si fragile. En un instant, l'élève peut basculer du côté des victimes, mal vu de ses camarades pour une simple différence. La cruauté et cette absence de tact chez les enfants frappe de plein fouet pouvant en une phrase, un mot... Ruiner une scolarité entière, une vie.

Kimitaka aime le basket, il est endurant mais, son manque d'habilité le rattrape tout comme ses amis à qui il avait si fiérement transmis tout son savoir. Forcé de reconnaitre que ses amis sont meilleurs que lui le jeune homme se renferme sur lui même. Parrallèlement Takara Fujimoto voudrait faire du basketball, mais pour les autres son apparence de Kappa est inadapté pour pratiquer cette danse. Tous deux la confiance au plus bas vont se rencontrer pour la première fois sur le toit de l'école prêts à jeter les chaussures rouges du sport qu'ils aimaient tant. Les deux adolescents se proposent d'échanger leur chaussures afin de se promettre un nouveau départ, plus rayonnant.

Malgré cet échange, c'est le destin de Kimitaka qui est mis en avant en grande majorité le long de l'oeuvre. Ce personnage rencontre une plus grande difficulté à se réadapter au monde qui l'entoure. Avec une grande volonté, il avance, il n'a pas pour vocation de devenir le plus grand danseur de Flamenco, il veut juste gouter de nouveau au bonheur et vivre heureux avec le flamenco pour allié. Sur son chemin, Kimitaka rencontre de nouvelles personnes en difficulté et ensemble à leur façon, ils se tirent vers le haut. Une joyeuse bande de loosers, mais cette belle brochette aussi n'a pas de raison de ne pas pouvoir vivre heureux. Le sport est un support dans l'oeuvre, la relation et l'évolution des personnages est à mettre au premier plan.

Pour couronner le tout, le trait de Mizu Sahara est à tombée par terre. J'en suis amoureuse. En particuler sa façon de dessiner les cheveux chez la gent féminine, les longues coiffures s'apparente à un splendide bouquet de fleur. Son utilisation des trames est dessiner elle aussi et ne se contente pas de remplir un line. Le tout avec un cadrage qui respire, permettant une lecture fluide. Le sixième et dernier tome sort dans les jours qui vont suivre, vous n'avez plus aucune excuse pour ne pas vous lancer.
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Je ne pensais pas revenir aussi vite avec un article Mon rapport à, je ne possède pas tant d'animés avec une véritable histoire derrière. La plupart du temps je choisis dans ma longue liste, je me nourris de ce qui m'entoure et je l'agrandis tentant en vain de la réduire. Cependant, récemment Yuri on Ice!!! est revenu dans mon esprit sur le pourquoi du comment je l'ai regardé. Comme dans mon premier article il faut faire un saut dans le temps, moins long que la dernière fois.

Nous sommes en 2016, je vous une passion pour les renards depuis mon cadeau d'anniversaire, je regarde toujours autant d'animés et je ne sais plus trop par quelle miracle je me repassionne pour tout ce qui touche au patin. Nous sommes au printemps 2016, mon envie bascule plus vers le patin à roulettes, une partie de mon enfance... En vrai je ne sais plus si c'est la série que je vais évoquer qui m'a dirigé vers une passion pour le patin ou si, c'est la nostalgie et l'amour que je portais à ses chaussures qui m'ont amené à la série.

En effet je me lance dans une série américaine sur les patins à roulettes. L'histoire est faite pour un jeune public, et la plupart des acteurs ont le don de me mettre mal à l'aise. Pourtant tous les soirs à l'heure du repas je m'installe et prend le rituel de voir mon épisode, car je voulais voir quelque chose sur le patin et qu'au fond tout n'est pas si malaisant. Les décors sont soignés, colorés, il y a de la romance à tout va (même si elle ne va pas du tout dans mon sens) et surtout les passages sur roulette et chorégraphies me passionne. Je vis en montagne où tout n'est que montée et descente et je rêvais de ces paysages plats où patiner jusqu'à l'épuisement.

La aussi mes souvenirs sont vagues, mais dans cette période viennent les deux éléments suivant : j'apprends la sortie d'un animé qui parlera de patins et je tombe sur ce gif :

C'est sur Tumblr que je tombe dessus un peu par hasard car je ne vais jamais sur ce réseau social à part ceux de certaines personnes qui sont déjà enregistrés dans mon ordinateur. En dessous il y avait un deuxième gif, pour ceux qui connaissent le trailer il s'agit d'un morceau ou Yuri patine. Le coup de foudre est immédiat. L'ambiance coloré, l'animation, le visuel et du patin !!

Entre temps l'été est fini, le mauvais temps ne donne pas envie de faire du patin à roulettes par -10°C, je switch pour une envie de patin à glace. Comme l'animé est un original et que je suis tombé par hasard sur les gifs, j'ai du mal à en savoir plus sur l'animé. Le on Ice me reste plus ou moins en tête mais impossible de retenir le nom du personnage Yuki ? Yumi ? J'ai du mal à aligner le titre. Fort heureusement, internet est bien fait et j'arrive à mettre la main dessus : Yuri on Ice!!!

Je l'ai suivi avec passion semaine après semaine, je voulais du patin et me voila servi. Ajoutez à cela une bonne histoire avec des personnages déjà professionnels dans le milieu, ce qui ajoute du spectacle et de la beauté, des personnages très bien écrit avec un panel multiple d'émotions. Un véritable coup de coeur de l'année. Je pense que passion soudaine ou non, je l'aurai regardé mais, je suis contente de l'avoir décourvert de cette façon.

Pour ceux qui aiment le patin artistique, il existe un autre animé à ce sujet (ce n'est peut être pas le seul, mais je n'en ai pas vu d'autre) : Ginban Kaleidoscope. Je ne vous cache pas qu'au niveau de l'animation et du temps d'écran sur glace, la qualité et la quantité sont plus basses. L'histoire n'est pas mauvaise, mais le personnage principal est agaçant et on a du mal à savoir comment elle perçoit physiquement et mentalement Pete. On sent aussi que les figures sont plus limités et les plans larges sont plus rare. Mais c'est toujours bon à prendre pour assouvir sa faim. Et si le vrai sport vous passionne, le patinage artistique est plus accessible à mes yeux que celui à roulettes. Les patinoires sont plus présentes que des salles pour patins à roulettes. (Je ne sais même pas si ça existe en France ?). Même si en tant que débutant on fait plus de simple tour de piste, apprendre à tourner, tenir en équilibre, tenter de patiner en arrière, cet apprentissage me rend heureuse et je compte bien retourner à la patinoire cet hiver, en attendant la sortie du film en 2019 !
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Depuis quelques mois, traine dans mes brouillons un article sur Star Butterfly, cependant impossible de faire un article complet à son sujet, je suis bloquée. Mon dernier article sur le WeDramanimique fut très agréable à écrire et me rappella une chose : j'apprécie écrire des petits formats sans prise de tête, ne pas forcément chercher la grande analyse et mettre un pied dans le faux. Pour au final, mal exprimer ce que je voudrais vraiment transmettre. Aujourd'hui donc, je vous propose un petit guide des dessins animés à suivre avec un regard adulte ou non.

Des fois je me sens lassée des animés, je n'en ai pas envie, je sais que je reprendrai sous peu, mais à ne visionner que ça, l'envie d'autre chose prend le dessus. Dernièrement cet autre chose c'est le dessin animé. Beaucoup propose des histoires loin d'être pour un public enfantin et se regarde avec amour. Une petite sélection pour s'initier s'impose.

Comme dit plus haut, c'est sans doute celui sur lequel j'ai le plus de mal à poser des mots. Si vous êtes tombés par hasard sur un épisode et que celui-ci ne vous a pas aidé à comprendre l'univers, je le comprends totalement. Je pense que la saison une en dehors des épisodes finaux, peut se regarder sans ordre particulier. Par contre à partir de la seconde saison, tout est mis en place pour nous emmener quelque part. Un fil conducteur se tisse entre chaque épisode et c'est plus un long film coupé en plusieurs partie que les petites mésaventures de Star.

Comme dans tous les autres dessins animés que je vais présenter, j'adore le style graphique, il me change des animés et surtout au niveau de l'animation et de la déconstruction des plans. Les points de vus originaux sont bien plus nombreux et agréable à l'oeil. Ils sont forcément plus frappant quand on change de nos type de visionnage.

Cette série, on m'aurait dit que je la regarderai un jour, je ne l'aurai pas cru. Voltron Legendary Defender n'a pas le scénario le plus appetissant selon mes gouts. Un groupe de jeune sauve l'univers grâce à des lions robots qui peuvent fusionner en un seul, le plus grand, le plus fort des robots : Voltron. A la base, j'entendais vraiment beaucoup de bien sans spécialement vouloir me lancer dedans, mais dans mon élan des dessins animés, ce qui m'a aidé à franchir le pas, c'est surtout cette grande vague qui parlait de romance à tout va sur la série. Autant mettre les choses au clair, la romance n'est pas le mot d'ordre de la série, loin de la.

Durant mon visionnage je ne perdais pas espoir, une telle fandom ne pouvait pas m'avoir menti... J'ai avancé à grande vitesse dans le visionnage et ce n'est que récemment que je me suis une raison... Je ne dois pas m'y attendre et, si à un moment la romance décide de pointer le bout de son nez je l'acceuillerai à bras ouvert. Car au fond l'histoire ne me déplait pas, elle change juste de ce que j'ai l'habitude de voir et je continue toujours avec passion chaque épisode. Après si je devais repprocher quelque chose à l'histoire c'est sa présence à outrance de Deus Ex Machina. "Le bouclier ne tiendra pas longtemps", "Mon lion ne répond plus", "je n'ai jamais essayé mais je peux tenter...", Deus Ex Machina à coup sur. C'est frustrant car pas mal d'éléments sont la pour que le tout coincide, or cette apparition soudaine de solution gache un peu les efforts des nos héros qui se démène pour l'univers.

L'oeuvre est un remake de Netflix et Dreamworks. Ma foi, une très bonne idée, car Netflix remet au gout du jour de très bonne série ! Et la fusion avec Dreamworks offre encore une fois un visuel de qualité. Le mélange de 2D et d'image de synthèse donne des plans sublimes et une animation fluide. Le visuel est incomparable par rapport à l'oeuvre d'origine !


Certainement mon plus gros coup de coeur, Miraculous fut ma révélation de fin d'année dernière. Un jour je lui consacrerai un article entier pour vous vanter tous les mérites de cette série tant ils sont nombreux. Contrairement à toutes les oeuvres que je vous présente aujourd'hui, l'histoire ne se suit pas dans le sens ou chaque épisode possède un schéma avec un début et une fin. Il y a une trame en fond, mais celle-ci avance petit à petit et les informations sont données au compte goutte.

Marinette est une collégienne généreuse et maladroite à qui revient le pouvoir de se transformer en Ladybug, l'héroïne pleine de confiance, protectrice de Paris. A ses côtés : Chat Noir, jeune héros blagueur et séducteur, qui n'est autre qu'Adrien l'élève top model de sa classe pour qui son coeur bat. Au milieu de pleins d'autres qualités, ce que je caractériserai comme la force principale de Miraculous c'est son carré amoureux, cet amour chassé-croisé qui offre un large panel de possibilités. En dehors de l'arc du vilain qui se renouvelle à chaque fois, toutes les autres intrigues valent la peine de continuer la série.

Le show se base pour un public plus jeune, cependant, la plus grande communauté réside chez les adolescents et les jeunes adultes. Il faut savoir passer outre les détails qui au regard d'un adulte semble évident. A trop en tenir compte, vous risquez de passer à côté d'une très bonne série, qui sur le long terme raconte une très bonne histoire. Par ailleurs, la série ne cesse d'évoluer au fil des épisodes. La saison 2 est toujours en cours de diffusion et bon nombre de fans ont constaté l'évolution par rapport à la première. Pour l'évolution, je tiens plus compte du scénario que du visuel, car celui-ci reste toujours aussi bon. La 3D est parfaite, il y a un travail monstre derrière cette série et la passion des créateurs se fait ressentir. Si je ne devais garder qu'une seule série des quatres de cet article, c'est nettement celle-ci qui prendrait le dessus.


Steven Universe ou la série que je commence des années après tout le monde. Pour l'instant je n'ai vu que la première saison. C'est la sortie avec Netflix qui m'a motivé à me mettre dedans. Pour cette série aussi, j'entendais que du bien à son propos.

Comme pour Star Butterfly, j'aurai du mal à faire un réel résumé de la série. Steven est un jeune garçon qui a hérédité d'une gemme de cristal magique de sa mère. Avec les autres gemmes il part à l'aventure pour sauver l'humanité des dangers provenant d'ici et d'ailleurs... C'est un format que j'apprécie car il est court, c'est sans prise de tête et comme pour tous les autres dessins animés que je vous ait proposé, l'histoire s'intensifie avec le temps.

L'atout majeur de cette série, c'est le charme enfantin de Steven. Il est jeune et expérimente des aventures que les autres enfants ne connaissent pas, avec en prime l'apprentissage d'un don qu'il ne maitrise pas. Malgré l'évolution de l'histoire, le ton reste toujours feel good, rien de mieux pour se relaxer avec une petite envie de série.
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